Sous l’impulsion du comité de gestion dirigé par le Prof Mwendanga Musengo Désiré-Salomon, le plan pour le nouveau campus de l’INTS est réalisé et transmis à l’autorité tutelle administrative. L’INTS est résolument tourné vers l’avenir.

Le président Félix Tshisekedi a annoncé aux étudiants l'installation le réseau wifi dans les universités pour faciliter les recherches..
Sortie médiatique du Ministre de l’ESU interdisant la vente des syllabus aux étudiants dans les établissements de son ressort

Génération Égalité d'ici à 2030
Petites actions, grand impact...

Ministère de l’Enseignement Supérieur et Universitaire ESU

INTERDICTION DE VENTE DES SYLLABUS: BONNE NOUVELLE POUR LES ETUDIANTS, DESOLATION POUR LES PROFESSEURS.

Le syllabus, un document important à la formation qui résume le cours élaboré par un enseignant à mettre à la disposition des étudiants demeure un sujet qui dérange le parcours académique de plusieurs universitaires et institut supérieurs. Bientôt, sa mise en vente par des professeurs appartiendra au passé. Les étudiants auront facilement accès à internet sur les campus universitaires. Promesse ferme du chef de l’Etat qui a visité plusieurs universités de la place. Bonne nouvelle pour les étudiants.

Le président Félix Tshisekedi a annoncé aux étudiants que le réseau wifi gratuit sera installé dans les universités de Kinshasa pour faciliter les recherches.
"Dès que le Wifi installé, je ne voudrai plus entendre parler de la vente des syllabus aux étudiants...", a-t-il averti, sous les acclamations des étudiants qui, aussitôt, ont crié au voleur, allusion faite aux profs qui leur vendent ce document. "L'étudiant n'est pas un esclave", a-t-il ajouté.

Cependant, l’annonce présidentielle a suscité la colère de quelques enseignants de l’ESU. Le syllabus, un document important à la formation qui résume le cours élaboré par un enseignant à mettre à la disposition des étudiants, demeure un sujet qui dérange le parcours académique de plusieurs universitaires et instituts supérieurs.

Face aux difficultés financières que rencontrent les institutions universitaires de la RDC, qui devraient normalement prendre en charge l’impression des syllabus, les professeurs se sont eux-mêmes chargés de les polycopier en les vendant à des prix variés et faisant de cela une obligation de réussite.

Le fait que ceux qui ont pour objet social de former l’élite en soient réduits à monnayer les syllabus devrait interpeller les décideurs politiques plutôt que de donner matière à blâme.
Pour le Chef de l'État, avec l'Internet gratuit, l'étudiant pourra faire des recherches et avoir des données contenues dans des syllabus vendus.
Bien avant Félix Tshisekedi, le ministre de l'Enseignement supérieur et universitaire (ESU), Muhindo Nzangi, a également interdit la vente, par des professeurs, des syllabus aux étudiants. Ce qui a suscité d'ailleurs la colère de quelques enseignants de l'ESU.

Après sa sortie médiatique du mardi dernier devant les étudiants, annonçant l’interdiction de la vente des syllabus dans toutes les universités et tous les instituts supérieurs de la RDC, le nouveau ministre de l’enseignement supérieur et Universitaire(ESU), Muhindo Nzangi, a attiré la foudre sur lui.

Il est important de rappeler que lors de cette sortie médiatique dans les instituts supérieurs de la capitale, Muhindo Nzangia laissé entendre devant les étudiants que le syllabus ne devrait plus être vendu.

Il y a de cela 3 ans déjà que le Prof MWENDANGA MUSENGO Désiré-Salomon Directeur Général de l’Institut National du Travail Social INTS avec son comité de Gestion avaient interdits cette pratique de vente des syllabus aux étudiant à l’INTS.

Lors de la réunion pédagogique à la rentrée académique 2020-2021 le Directeur Général de l’INTS s’est adressé au corps scientifique et académique de l’INTS en rappelant que la vente des supports de cours aux étudiants reste interdite.

Vue de l’auditoire à l’Institut National du Travail Social "INTS_Kinshasa.


Le saviez-vous ?
• Les salaires des femmes sont inférieurs de 23 % à ceux des hommes dans le monde.
• Les femmes n’occupent que 24 % des sièges parlementaires dans le monde.
• 1 femme sur 3 dans le monde subit des actes de violence physique ou sexuelle à un moment donné dans leur vie.